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Réseau des Cuma

Y adhérer pour le travail et s’y engager pour le collectif

Pour le président de la Fédération départementale des Cuma (Coopérative d’utilisation du matériel agricole), Bertrand Escot, exercer son métier au sein de collectifs et y prendre des responsabilités est une évidence. Néanmoins, l’anticipation et l’organisation sont essentielles pour avancer.

Y adhérer pour le travail et s’y engager pour le collectif
Bertrand Escot, président de la FDCuma de la Loire, appose le logo de la structure sur un matériel récemment acheté par la Cuma de Saint-Héand, celle à laquelle il adhère et où il est administrateur depuis son installation. ©LGF

Etre agriculteur ou travailler dans le milieu agricole était indéniable pour Bertrand Escot, qui s’est installé en 2009 en Gaec sur la ferme familiale de Saint-Héand. Y représentant la 4e génération, il confie avoir toujours eu de l’appétence pour « le travail à plusieurs et les projets collectifs. Je n’imagine pas travailler seul et sans Cuma (Coopérative d’utilisation du matériel agricole, ndlr). » Il précise : « Si nous avons un projet d’investissement, nous devons nous interroger sur la possibilité de le concrétiser sous une forme collective. Si ce n’est pas possible, tant pis, mais nous y aurons quand même réfléchi. » Bertrand Escot estime qu’adhérer à une Cuma permet d’avoir du matériel performant à un coût compétitif. « C’est utile par exemple quand les fenêtres météorologiques sont limitées. Pour que tout fonctionne bien, il est nécessaire de planifier le t...

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