Comice de Feurs : un concours ovin de haute qualité et des ventes fructueuses
Entre rigueur du jury, animaux de qualité et transactions avantageuses, la nouvelle édition du concours des agneaux de boucherie du comice, bien que légèrement impactée par le contexte sanitaire, a su être à la hauteur du rendez-vous.

Le comice de Feurs a une nouvelle fois mis à l’honneur l’élevage ovin. Le traditionnel concours présentait deux catégories : les agneaux de races bouchères (9 lots de quatre animaux) et les agneaux de races croisées rustiques (19 lots). Samedi matin, à huis clos, les 28 lots ont été présentés aux trois juges : Paul Lachat, boucher à la retraite ; Bernard Pelin, ancien éleveur de moutons dans l’Allier ; Alain Verpet, éleveur. Selon eux, cette édition s’est avérée plus simple à évaluer que la précédente. La réduction du nombre de bêtes (35 lots en 2024) en compétition et une hétérogénéité plus marquée entre les lots ont permis un jugement plus clair. « Des agneaux extraordinaires » En races bouchères, « le Grand prix d’honneur comprenait des agneaux extraordinaires », ont souligné les examinateurs. Il revient cette année au Gaec Tixier et fils (63). Son lot de quatre femelles prim&ea...
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