Après deux années de forte décapitalisation, la production française de porcs montre des premiers signes de stabilisation sur les premiers mois de 2024, selon Inaporc, l’interprofession porcine.

Le Comité national interprofessionnel d’économie laitière (Cniel) a fêté son cinquantenaire le 26 juin dans les locaux de la Maison du lait à Paris. L’occasion pour ses dirigeants de revenir sur les grands moments de son histoire et de dresser quelques perspectives pour l’avenir.

Dans un contexte où les consommateurs privilégient les produits d’entrée de gamme, le Cnaol demande des financements publics pour la promotion des indications géographiques. Les appellations laitières plaident aussi pour un aménagement de la certification.

Après deux ans de travail, l’interprofession porcine Inaporc a présenté sa démarche de responsabilité sociétale. Au menu : renouvellement des générations des éleveurs, transition vers les bâtiments « maternité liberté » et réduction des GES.

Initialement éleveur de Prim’holstein, Yves Moulin a rejoint l’Organisme de sélection (OS) Simmental France en 2009, peu de temps après avoir effectué un croisement d’absorption. L’agriculteur basé à Saint-Chamond ne regrette en rien son choix, bien au contraire !

La race Simmental sera à l’honneur dans la Loire la semaine prochaine (lire l’encadré). L’occasion de présenter cette race dite « mixte », qui représente 1 % des animaux laitiers ligériens et qui intéresse de plus en plus les éleveurs laitiers. En France, le nombre d’élevages détenant au moins une vache simmental croit.

La Chambre d’agriculture de la Loire et Loire conseil élevage proposent un suivi hebdomadaire de la croissance de l’herbe pour aider les éleveurs ligériens à bien maîtriser le pâturage et la récolte de l’herbe. Voici le bulletin du 17 juin.

L’exécutif devrait rétablir très prochainement l’obligation d’afficher dans les restaurants l’origine des viandes ovines, porcines et de volailles, suspendue depuis mars. Une mesure très attendue par les filières animales.

L’histoire de la Loire et du cheval n’est pas si ancienne. Si à l’époque le département n’est pas une terre naturelle d’équidés, aujourd’hui, ils est un territoire de sportifs, d’entraîneurs, d’éleveurs et d’amateurs. Le tout piloté par le Conseil de la filière cheval Auvergne-Rhône-Alpes, sous la houlette de son président, Régis Bouchet. 

La Chambre d’agriculture de la Loire et Loire conseil élevage proposent un suivi hebdomadaire de la croissance de l’herbe pour aider les éleveurs ligériens à bien maîtriser le pâturage et la récolte de l’herbe. Voici le bulletin du 10 juin.