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Amélioration génétique et reproduction

Coopel : apporter des solutions techniques concrètes

« Accompagner techniquement les éleveurs et continuer d’aller de l’avant tout en conservant un regard avisé, réaliste et serein sur l’évolution de l’élevage », tel est l’état d’esprit des responsables de Coopel, coopérative d’insémination et de services de reproduction et d’amélioration génétique, relayé notamment par son président lors de l’assemblée générale il y a quelques jours.

Coopel : apporter des solutions techniques concrètes
Un des faits marquants de l’exercice 2020-2021 est la mise en service du nouveau bâtiment accueillant les animaux de l’UCC (construit à la place de l’ancien). Le ring attenant sera rénové dès février 2022. L’atelier est en cours de construction et les salles de réunion devraient commencer en avril 2022 pour se terminer en fin d’année.

Inévitablement, lors de l’assemblée générale de Coopel jeudi 9 décembre, la situation sanitaire vis-à-vis du Covid a été abordée, notamment parce qu’elle a impliqué la tenue de la réunion en format restreint, c’est-à-dire uniquement avec les délégués des éleveurs, et donc sans les invités habituels. Mais aussi parce que la pandémie complique l’organisation des équipes, et plus particulièrement des inséminateurs. Mais il a surtout été question du contexte structurel en agriculture, avec la diminution inexorable du nombre d’exploitations et donc d’adhérents, qui est considéré comme « implacable » par le président de Coopel, Joseph Arnaud. « Il a des conséquences directes sur le nombre d’inséminations bovines, dont la baisse régulière semble mécaniquement difficile à enrayer. » Sur l’exercice 2020-2021, Coopel rassemblait 2 215 adhérents, contre 2 443 en 2019-2020. &n...

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