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Ruralité

Safer Loire : « instaurer un climat de confiance »

Régulation du foncier, transparence, ouverture sur le monde rural, équité… autant de mots qu’utilise le directeur de la Safer Loire pour décrire l’image qu’il souhaiterait que les agriculteurs aient de la structure. Arrivé il y a maintenant un an dans la Loire à la direction de la Safer, Antoine Benredjem dresse un premier bilan.
Safer Loire : « instaurer un climat de confiance »

Après un an passé à la direction de la Safer Loire (Société d'aménagement foncier et d'établissement rural), après un an d'analyse du fonctionnement de la structure, après un an d'écoute des partenaires, après un an de travail assidu, Antoine Benredjem s'exprime sur les objectifs qu'il a fixés à son équipe. Bertrand Lapalus, agriculteur dans le Roannais, est quant à lui président de la Safer Loire depuis maintenant trois ans. Président et directeur constituent un binôme solide, ayant les mêmes objectifs pour cette société. Ensemble, ils veulent mettre en avant son rôle dans la régulation du foncier, l'équité, la transparence, l'ouverture et la satisfaction client.Une Safer est « une société anonyme, sans but lucratif (sans distribution de bénéfices), avec des missions d'intérêt général, sous tutelle des ministères de l'Agriculture et des Finances », rappelle le site internet www.safer.fr. Une Safer doit permettre «à tout porteur de projet viable – qu'il soit agricole, artisanal, de service, résidentiel ou environnemental – de s'installer en milieu rural. Les projets doivent être en cohérence avec les politiques locales et répondre à l'intérêt général »...

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